Pour le plus grand plaisir des puristes, l'ère Chris Bangle semble bel
et bien révolue.
La BMW Série 5 a changé du tout au tout avec sa face avant bombée,
inspiré du Z4, la Série 7 qui lui prête sa jeune plate-forme. Il y a même de la
Série 3 dans le regard, la découpe des vitres et des flancs.
Dans le détail, on remarque un gros travail porté à la partie arrière.
Les feux sont nouveaux, la malle de coffre est mieux intégrée grâce à des ailes
plus musclées et un
pare-chocs plus enveloppant, et la chute de pavillon se veut davantage
inclinée. La découpe des portes est, elle aussi, tout à fait différente, plus sculptée.
La figure de proue se modernise également avec un interminable capot nervuré à
l'extrémité arrondie et des blocs optiques plus sages.
Dans l'habitacle, c'est aussi la révolution. De l'actuelle Série 5 il ne reste plus grand chose. On se rapproche de la Série 7 pour ce qui est du dessin de la planche de bord, du volant, de la console centrale ou encore du sélecteur de rapport. On retrouve une liste pléthorique d'options de confort et de sécurité. Citons pêle-mêle l'avertisseur d'angle mort, l'iDrive avec connexion Internet, l'affichage tête haute associé à un système de vision nocturne, une multitude de caméras pour faciliter les manœuvres, ou encore un système de parking automatique qui se charge de tourner le volant lors des créneaux.
Dans l'habitacle, c'est aussi la révolution. De l'actuelle Série 5 il ne reste plus grand chose. On se rapproche de la Série 7 pour ce qui est du dessin de la planche de bord, du volant, de la console centrale ou encore du sélecteur de rapport. On retrouve une liste pléthorique d'options de confort et de sécurité. Citons pêle-mêle l'avertisseur d'angle mort, l'iDrive avec connexion Internet, l'affichage tête haute associé à un système de vision nocturne, une multitude de caméras pour faciliter les manœuvres, ou encore un système de parking automatique qui se charge de tourner le volant lors des créneaux.
Sur le plan mécanique, le progrès technologique est aussi au cœur des nouveautés. La BMW Série 5 peut ainsi s'équiper d'une boîte automatique à 8 rapports, d'un alterno-démarreur ''Stop/Start'' sur certaines versions, d'un système anti-roulis actif et même de quatre roues directrices (comme sur la Série 7). Une première sur le segment des routières intermédiaires.
Sous le capot de cette nouvelle Série 5, BMW annonce une gamme complète de moteurs diesel. L'offre débute avec la 520d, développant ici 184 ch. Viennent ensuite les 525d et 530d affichant respectivement 204 et 245 ch. Notons qu'une version très sobre devrait faire son apparition quelques mois après son lancement : une 520d dégonflée à 163 ch, annoncée à 4,5 l/100 km en cycle mixte.
Les moteurs essence n'ont, bien évidemment, pas été oubliés. L'offre s'étend du six-cylindres en ligne de 204 ch de la 523i, au V8 biturbo de 407 ch de la 550i. Entre les deux officiera la 528i, forte de 258 ch et la 535i, associée à un six-cylindres 3.0 turbo de 306 ch.
Enfin, BMW enfonce le clou
avec l'arrivée d'une version hybride baptisée ''ActiveHybrid 5''. Sans
oublier la fameuse M5.
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